Le Printemps des talents est un programme lancé par la ville de Clermont-Ferrand en 2017 et qui a pour but de mettre en valeur les talents clermontois et les structures qui accompagnent au quotidien ces porteurs de projet
Donner un autre regard sur l’alimentation végétale et embarquer les filières agricoles locales… Voici le défi de Louis Fanget, le créateur de Solaine. Cette entreprise trouve des débouchés aux producteurs bio, tout en développant une alimentation saine et accessible pour le bien commun. Avec Louis Fanget, on se reconnecte à notre assiette.
Au menu : le photographe Jérémie Lusseau revient sur l’un de ses reportages au sein de l’Ocean Viking, le bateau de recherche et sauvetage de SOS Méditerranée, tandis que Chafik Mohamed, spécialiste de la cybersécurité, nous détaille la menace que fait planer les hackers.
En mars dernier, le photojournaliste Jérémie Lusseau a accompagné les équipes de SOS Méditerranée à bord de l’Ocean Viking pour leur 11e mission de recherche et de sauvetage en mer. Une opération qui a permis de de secourir 116 personnes en péril au large des côtes libyennes. Ses photos font partie d’une exposition présentée jusqu’à la fin du mois de février à l’Hôtel du département de Loire Atlantique. Documenter l’engagement des marins et des bénévoles mobilisés pour sauver des vies est une façon d’alerter sur la tragédie qui se déroule sur la route migratoire la plus meurtrière au monde.
Urgences fermées, patients priés d’aller se soigner ailleurs. Victime d’une cyberattaque le week-end dernier, le centre hospitalier d’Armentière, dans le nord de la France, a été complètement désorganisé. Quelques jours plus tôt, ce sont deux gestionnaires de tiers payant qui ont été la cible des hackeurs. Résultat des courses : les données personnelles d’un français sur deux ont été volées. A l’approche des Jeux Olympiques, les cyberattaques se multiplient. La Réunion n’échappe pas au phénomène comme nous l’explique Chafik Mohamed, président de l’Observatoire de la cybersécurité de l’Océan indien.
Le Centre hospitalier universitaire, la mairie de Saint-Philippe ou l’entreprise Colispays : les hackers ciblent aussi des structures réunionnaises, qui s’organisent face à la menace.
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Service des urgences fermées, patients priés d’aller se soigner ailleurs… Victime d’une cyberattaque le week-end dernier, le centre hospitalier d’Armentière, dans le nord de la France, a été complètement désorganisé. Quelques jours plus tôt, ce sont deux gestionnaires de tiers payant qui ont été la cible des hackeurs. Résultat des courses : les données personnelles d’un français sur deux ont été volées.
A l’approche des Jeux Olympiques, les cyberattaques se multiplient. La Réunion n’échappe pas au phénomène, à l’image du CHU, de Colispays ou de mairies, comme nous l’explique Chafik Mohamed, président de l’Observatoire de la cybersécurité de l’Océan indien.
Une pêcheuse affronte un puissant politicien local en préparant un repas en son honneur, avec une recette secrète et inoubliable, qui pourrait bien sauver son lac de la détérioration.
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Le Cinéaste Rishi Chandna est originaire de Kolkata en Inde, il présentait son troisième court-métrage Virundhu (le festin), et a eu le plaisir de recevoir le prix spécial du jury international lors de la 46e édition du festival du Court-Métrage de Clermont-Ferrand.
Irphan Khan a eu le plaisir de rencontrer le réalisateur Rishi Chandna et d’échanger avec lui sur les défis qu’il a rencontré au cours de la production de Virundhu.
Une photo Bonus, Irphan Khan (au fond à gauche) a eu le plaisir de partager un festin avec l’équipe du Tournage et Richi Chandna (à droite)/ Clermont-Ferrand/ Février 2024
Au menu : un point sur les logements précaires à La Réunion ravagés par le cyclone Belal et une interview du réalisateur indien Rishi Chandna.
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Le cyclone Belal a couté la vie à trois personnes sans domicile fixe. Il a aussi causé 100 000 millions d’euros de dégâts, dévasté des cultures et ravagé des logements entiers. Certains habitants ont tout perdu. Une situation critique qui pourrait pourtant se reproduire, si rien n’est fait au niveau des logements précaires. Matthieu Hoarau en sait quelque chose. C’est le directeur de la fondation Abbé Pierre qui lutte contre le mal logement à La Réunion. Il est interviewé par Lindsay Madeleine.
On fait durer le festival du Court-métrage de Clermont-Ferrand ! Irphan Khan a rencontré le réalisateur indien Rishi Chandna, du court métrage Vinrundhu, qui signifie le Festin en Tamoul. Voici l’histoire : une pêcheuse affronte un puissant politicien local en préparant un repas en son honneur, avec une recette secrète et inoubliable, qui pourrait bien sauver son lac de la détérioration. Rishi Chandna nous raconte l’envers du décor.
Les musiques électroniques à l’honneur cette semaine dans Magic Bolide avec en invité Patrice Bardot du magazine Tsugi.
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Une bonne occasion pour parler du retour de Justice mais aussi d’un mystérieux, fantasmatique mais possible album de Daft Punk qui s’agiterait dans les tiroirs des 2 hommes robots. On évoquera aussi la présence de plus en plus forte des femmes sur cette scène électro en France avec Irène Drésel, Lucie Antunes ou Miki, sans oublier une flopée de nouveautés qui prouvent toute la diversité du paysage électronique: de DJ Shadow à Moderat, en passant par un coup de cœur pour le canadien Russell Louder et les dernières productions des français Canblaster, Polo and Pan, Baptiste Lagrave, Bolivard, Walter Astral ou Agoria.
Au menu du jour, la découverte de l’école Kourtrajmé, qui ouvre les portes du cinéma à ceux qui les pensaient fermées, et une rencontre avec Valérie Urréa, co-réalisatrice du documentaire détonnant H24.
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La rédaction de Clermont-Ferrand prend le poul du festival du Court-métrage. Une édition qui donne aussi la caméra aux futures générations. Emma Delaunay a rencontré les visages de l’école Kourtrajmé. À l’initiative des réalisateurs Kim Chapiron, Toumani Sangaré, Romain Gavras et Ladj Ly, ils ont voulu ouvrir les portes de cette industrie à ceux qui pensaient ne jamais pouvoir les franchir.
H24 ce sont 24 court-métrages de 4 minutes, chaque court-métrage est un bref instant dans la vie d’une femme. Des récits écrits par 24 écrivaines engagées et joués par 24 actrices. Ce projet est né de la volonté de deux réalisatrices : Nathalie Masduraud et Valérie Urréa pour « éveiller les consciences ». Depuis le festival du court métrage à Clermont Ferrand, notre journaliste Anthony Frutos est parti retrouver Valérie pour échanger autour de cette série assez percutante.
Invitées du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, les écoles Kourtrajmé ont fait leur « OFF » en proposant une programmation inédite rassemblant les écoles de Marseille, Dakar, Karaibes et Clichy-Montfermeil. Ces formations gratuites aux métiers de l’image et du cinéma, ouvertes à tous et sans conditions de diplôme, aspirent à former des profils différents, et à rendre l’industrie du cinéma plus représentative.
La rédaction de Clermont-Ferrand prend le pouls du festival du Court-métrage. Une édition qui donne aussi la caméra aux futures générations. À l’initiative des réalisateurs Kim Chapiron, Toumani Sangaré, Romain Gavras et Ladj Ly, ils ont voulu ouvrir les portes de cette industrie à ceux qui pensaient ne jamais pouvoir les franchir. Emma Delaunay a rencontré les visages de l’école Kourtrajmé, dont Kévin Frair, élève à l’école Karaïbes et Thomas Gayrard, responsable pédagogique de l’école Clichy-Montefermeil.
9 formations autour des métiers de l’image et du cinéma sont proposées entre Paris, Marseille, Dakar et Pointe-noire en Guadeloupe, et 12 court-métrages d’élèves ont été diffusés et primés en festival. Plus d’informations sur ecolekourtrajme.com
Inspirée de faits réels, une série manifeste qui rend compte des violences faites aux femmes au quotidien. Sur une idée originale de Nathalie Masduraud et Valérie Urrea, 24 films courts audacieux, d’après les textes de 24 autrices européennes, interprétés par 24 actrices d’exception.
Pour offrir une narration nouvelle sur ce sujet des violences que vivent les femmes au quotidien, 66 femmes engagées se sont consacrées à H24, une série poignante. Ici le « je » se transforme en un « nous », cette diversité des voix et d’histoires nous plongent dans ces récits de violences devenues banales. H24 nous ouvre le champs, 3 ans après sa sortie, Anthony Frutos a rencontré la documentaristeValérie Urrea.
Une auto-fiction où les genres s’inversent pour dénoncer le sexisme ordinaire.
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Comment sensibiliser tout en dérangeant les spectateurs sur les questions des violences sexistes ? Dans leur scénario dystopique, Ovidie et Corentin Coëplet les rôles s’inversent sur un plateau de tournage.
Michaël Grelat a rencontré Corentin Coëplet pour comprendre ce qui se joue quand on bouscule les codes.