Culture

Les tags, graffitis, fresques, pochoirs ou peintures murales ont envahi l’espace public réunionnais. Au départ illégale et cachée, la pratique du street-art s’est démocratisée puis institutionnalisée. Au point que La Réunion est en passe de devenir une place forte du paysage mondial.

MEDIA

De son apparition, cachée, en compagnie du hip-hop, dans les années 1980, à sa démocratisation, en passant par son institutionnalisation, le street-art réunionnais est passé par bien des états.

La rédaction réunionnaise du Chantier est parti à sa trace. Auteure d’un doctorat sur le sujet, Océane Argelas nous décrypte les spécificités du street-art péi.

Eko LSA, à la base de la naissance du mouvement dans l’île, nous donne son point de vue, lui qui est aussi organisateur du festival Réunion Graffiti, qui réunit depuis cinq ans des artistes du monde entier, ici, à La Réunion. . 

Audrey Coridon, alias Dey, première graffeuse réunionnaise, pose son regard sur l’évolution de son art, sur son île. Au départ cachée et illégale, cette pratique est visible partout. Ce qui fait dire à Dey que « La Réunion a une carte à jouer au niveau mondial ». Rien que ça.  

Kaysia Virapin, avec Kilian Kerbrat