Enquête sur la première génération post #metoo

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La journaliste Florence Pagneux publie aux éditions La Mer Salée “Ce que nos filles ont à nous dire”, une enquête sur la première génération post #metoo.

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©Le Chantier/ Florence Pagneux a enquêté sur une enquête sur la première génération post Metoo

Le 5 octobre 2017, l’affaire Weinstein éclate. Une douzaine de femmes accusent le producteur de cinéma de viols et d’agressions sexuelles. 10 jours plus tard, l’actrice Alyssa Milano invite sur twitter celles qui ont été agressées à témoigner sous le #metoo. Un hashtag créé dix ans plus tôt par la militante féministe américaine Tarana Burke. Sa version francophone #balancetonporc appelle lui aussi à briser l’omerta. Les témoignages affluent allant du sexisme quotidien et du harcèlement de rue aux viols et aux agressions sexuelles. Qu’en est-il 5 ans plus tard ? Quel impact ce mouvement a-t-il eu sur la nouvelle génération ? Ces jeunes filles qui à l’époque avaient entre 8 et 15 ans et qui ont aujourd’hui de 13 à 20 ans. Orane Charles de la rédaction nantaise a rencontré la journaliste Florence Pagneux. Elle signe “Ce que nos filles ont à nous dire”, une enquête sur la première génération post Metoo, publié aux éditions La Mer Salée.