Environnement

Il aura fallu un été apocalyptique, couplé à une crise de l’approvisionnement en gaz par la Russie, pour que le terme « sobriété énergétique » s’impose dans le débat. Et dans les politiques publiques ?

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L’extinction de l’éclairage public fait partie des décisions que peut prendre une commune pour plus de sobriété énergétique. ©Jean-Marc Lallemand/BELPRESS/MAXPPP

L’expression est sur toutes les lèvres en cette rentrée, de l’université d’été du Medef au Conseil de défense énergétique qui s’est tenu le 2 septembre en passant par les éditos des journaux nationaux : “sobriété énergétique”. Qu’est-ce que cela signifie précisément ? Comment les politiques publiques, l’État, les collectivités, peuvent prendre le virage de la sobriété énergétique ? Peut-on rendre désirable ce paradigme, souvent craint ?

Pour en parler aujourd’hui, Le Chantier accueille Barbara Nicoloso, coordinatrice de l’association Virage énergie. Elle travaille à la prise en compte de la sobriété énergétique dans l’élaboration des politiques publiques et est également chargée de cours à l’université du Littoral Côte d’Opale. Elle a publié en 2021 “Petit traité de sobriété énergétique” aux Éditions Charles Léopold Mayer.

Tiphaine Crézé