Dans la lutte contre les violences faites aux femmes, le 25 Gisèle Halimi insuffle de l’énergie

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Depuis l’ouverture du centre 25 Gisèle Halimi, il y a quasiment un an, 682 femmes ont trouvé de l’écoute pour aborder la question des violences qu’elles subissent. Cette réalité résonne d’autant plus, en ce 25 novembre, journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.

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© LE CHANTIER/ NOVEMBRE 2024/ Depuis un an, le 25 Gisèle Halimi se définit comme un lieu pouvant apporter des réponses aux femmes, qui ne savent pas où s’adresser, pour les aider à surmonter les difficultés qu’elles peuvent rencontrer.

Depuis son ouverture,  le travail mené par l’équipe de ce centre porte ses fruits. Imaginé comme un guichet unique en matière de droits des femmes, Le 25 Gisèle Halimi rassemble plusieurs associations et est accessible sans rdv. La sororité transparaît ici, puisque ce sont toutes des travailleuses qui accompagnent celles qui toquent à la porte du 25 Rue Lucie et Raymond Aubrac à Clermont-Ferrand. Le 25 Gisèle Halimi permet de pallier certaines zones blanches du territoire en facilitant la prise en charge et en donnant accès plus rapidement  à des consultations, avec par exemple, des gynécologues. Chaque mois ce sont 30 interruptions volontaires de grosses réalisées dans ce lieu. La mutualisation des services permet d’éviter le risque de non-recours et la rupture de parcours.

On regarde dans le rétroviseur avec Karine Plassard, responsable de la mission Egalité des Droits à la ville et Marie Costenoble, coordinatrice égalité de genre.

Emma Delaunay