Reconnu dans la danse commerciale, Valentin Beaufils aspire désormais à danser ailleurs… Sa danse raconte son parcours et dans ses pas tout semble possible.
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Valentin Beaufils /2023
On garde le rythme sur Le Chantier … Et on se lance. “5-6-7-8”, repère éternel que notre invité suit quotidiennement : Valentin Beaufils, danseur clermontois basé depuis quelques années à Paris. Au départ mauvais élément dans les cours de danse, Valentin Beaufils a finalement su enflammer les scènes lors de la tournée de l’artiste franco-Belge Angèle ! Emma Delaunay vous embarque dans ses pas.
Invités cette semaine de Magic Bolide le groupe Exsonvaldes, un des secrets les mieux gardés de la pop française.
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« Maps » leur 5 ème album confirme avec éclat leur talent de songwriting entre indie rock, folk et pop synthétique. Bonne occasion pour discuter avec eux Science Fiction, monde en péril, Aérotrain, Beatles et pop song parfaite. Au programme également la sensation canadienne Mock Media, les compositions enchanteresses de Harp, les laborantins pop anglais Dutch Uncle, Sleaford Mods reprenant les Pet Shop Boys, la naissance d’un grand songwriter avec le rennais Dude Low, Geyster, le plus californien des artistes français et le feu dans la voix de Maddie Street, artiste franco-anglaise qui secoue joyeusement dans son shaker pop et rap engagé.
Alors que les lyonnais allument les lampions, À Clermont-Ferrand un petit groupe fait chauffer la potée pour un événement assez atypique où l’ingrédient principal est l’inclusion.
Aujourd’hui la ville de Lyon s’illumine à l’occasion de la fête des lumières… À Clermont-Ferrand, c’est une toute autre fête à laquelle nous vous convions : La grande potée des allumés. Une fête en partie organisée par des personnes en situation de handicap mental. Irphan Khan reçoit aujourd’hui Bertrand Portalier, secrétaire de l’association ACH( Art Cuisine et Handicap).
Notre journaliste Agnès Dumontet a bien apprécié les dessins de Samuel Chardon. Habitué des grands voyages il propose ce carnet inédit sur la ville de Clermont-Ferrand et qui vient d’être édité par la mairie. Les dessins sont à retrouvé au centre Camille CLAUDEL jusqu’au 20 janvier.
Demain après-midi samedi 9 décembre, Samuel Chardon sera présent pour dédicacer. ça se passe au 3 Rue Maréchal Joffre.
Deux ans après la première marche des fiertés, moins d’un an après l’incendie du local de l’association Horizon, deux mois après un crime homophobe à Salazie, comment se porte la communautée LGBTQIA+ à La Réunion ?
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Elle ressemble à quoi, la vie des lesbiennes, gays, bisexuels, trans, queers, intersexes ou androgynes (LGBTQIA+), à La Réunion en 2023 ? Que vivent ces personnes au quotidien ? Comment évoluent les mentalités vis-à-vis de cette communauté ?
Pour y répondre, l’équipe du Chantier s’est rendue à la marche des fiertés, à Saint-Pierre. Elle a également rencontré plusieurs membres de cette communauté, comme Xylric Lepinay, président de l’association OriZon, dont les locaux ont été incendiés en début d’année.
J3zz est un musicien réunionnais original : il capte les vibrations émises par les plantes pour en faire de la musique douce et envoutante.
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L’artiste réunionnais J3zz, sensible à la nature, a mis au point un procédé original. Grâce à un boîtier, relié à des patchs ou des pinces-crocodiles, il capte les vibrations émises par les plantes. Celles-ci se transforment comme par magie en une musique douce et envoutante. Epatant.
Un salon de l’emploi dédié aux 45 – 64 ans a été organisé à Saint-Denis de La Réunion. Un public particulièrement touché par le chômage.
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En France, un tiers des seniors de 61 ans sont sans emploi, ni retraite. A La Réunion en 2022, seulement 44 % des seniors de 55 à 64 ans avaient un emploi. Face à ce constat, un premier job dating dédié aux seniors a été organisé à Saint-Denis. Et il a attiré beaucoup de candidats, présents avant même l’ouverture du salon.
Le Quotidien et le Journal de l’Ile sont menacés de disparaître. Les salariés des deux journaux réunionnais se battent pour leur survie.
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La presse quotidienne réunionnaise en période de grande turbulence. Entre Le Quotidien, placé en liquidation judiciaire, et le Journal de l’île, en grande difficulté financière, l’avenir de ces deux journaux locaux est menacé.
Une menace qui a poussé les salariés des deux médias à manifester devant les grilles de la préfecture, mercredi 29 novembre. Et ce, alors que la ministre de la culture Rima Abdul-Malak était en visite sur l’île.
Après une rencontre avec les représentants du personnel et la direction des deux journaux, la ministre de la culture a été qualifiée d’à l’écoute, préoccupée par le sort réservé à ces deux titres de presse et poussant vers une mutualisation des services de ces derniers.
Trois mois d’espoir
Vendredi 1er décembre, c’est un souffle d’espoir qui a parcouru la rédaction du Quotidien. En commission permanente, la Région Réunion a en effet voté à l’unanimité une aide exceptionnelle de 600 000 euros. De quoi tenir encore trois mois, période que le mandataire judiciaire devrait accepter de prolonger le 13 décembre au tribunal de commerce. Trois mois pour trouver un nouveau repreneur. Dans la foulée, le JIR a réclamé une nouvelle aide régionale.
Fort de cette bonne nouvelle, Le Quotidien a ouvert ses portes à ses lecteurs, samedi 2 décembre. Entre musiques, graffs et visites guidées, les sympathisants ont pu écrire des mots d’encouragements. Des mots bienvenus. Car l’avenir de ces deux titres n’est pas encore fixé.
Tyron Poncharville, Aurore Gisquet, Firoza Lery et Kilian Kerbrat
Dans le quartier du Chaudron à Saint-Denis, un troc de plantes a été organisé pour sensibiliser les habitants à prendre soin de leur quartier, victime de nombreux dépôts sauvages,
Un sentiment d’angoisse, d’impuissance et un stress intense en lien avec la crise environnementale… on la nomme l’éco-anxiété ou encore solastalgie. Comment envisager un futur serein quand on a peur de l’effondrement ?
L’éco-anxiété touche de plus en plus de personnes, et particulièrement les jeunes. Selon une étude de la revue The Lancet Planetary Health, parmi les 10 000 personnes interrogées, 59 % des 16‑25 ans dans le monde en souffrent.
Pour pallier ces angoisses, certains choisissent de les transformer en actions militantes, d’agir pour imaginer un avenir meilleur.
Charline Schmerber est psychologue et membre de l’association Raffue (Réseau des professionnels de l’accompagnement face à l’urgence écologique). Jules Caffe, quant à lui, subit de plein fouet cette éco-anxiété. Il a choisi de transformer ces angoisses en actions.