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Les épreuves du bac approchent à grands pas. Cette année, les élèves expérimentent le grand oral qui aura lieu le 21 juin. Une nouveauté encore nébuleuse et stressante pour les élèves. Rachida Bounaga, vice-présidente de la PEEP, une association de parents d’élèves, est à nos côtés pour nous apporter son éclairage.

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rachida bounaga peep le chantier radio

Préparation au Grand Oral du Bac au lycée de Goussainville dans le Val d’Oise
© Alexis Morel / RADIO FRANCE / MAXPPP

Au menu du bac cette année : le grand oral, une nouveauté que les futurs bacheliers expérimentent le 21 juin prochain. Une épreuve orale d’une vingtaine de minutes où les élèves de terminale sont interrogé.e.s sur une question préparée en avance ainsi que sur leur orientation. L’idée derrière cette évaluation : prendre la parole en public de façon claire et convaincante.

D’après le site de l’Éducation Nationale, « Cette épreuve évalue des compétences essentielles, en particulier la maîtrise d’une parole personnelle, structurée et argumentée, la capacité à déployer avec clarté et conviction une réflexion, à dialoguer et à débattre, à adopter une distance critique par rapport aux savoirs acquis et à son projet de formation. »

Mais cette nouvelle évaluation n’enchante pas l’ensemble des candidat.e.s. Loin de là, pour beaucoup le grand oral devient une source de stress. Du côté du corps enseignant, même son de cloche, le vendredi 4 juin, les enseignants se sont réunis devant le rectorat de Clermont pour dénoncer les conditions du bac 2021.

Rachida Bounaga, vice-présidente de la PEEP, une association de parents d’élèves, nous apporte son éclairage.

Alexandra Tshivuanga